Dispense du 4ème degré de consanguinité. La souche commune est Jean GODEFROY 
d'où sont sorties Valentine et Jeanne GODEFROY

Le patronyme varie dans la dispense : LE TERRIER, LE TERRY, TERRY. Le 
suppliant signe TERRY. C'est également l'orthographe du patronyme dans les 
registres paroissiaux de Geffosses, et, particulièrement, au mariage des 
suppliants en 1745. Pour compléter l'ascendance du suppliant, voir la dispense 
de consanguinité du 28/01/1743 pour son premier mariage avec Françoise LE ROSEY

Branche du suppliant : 
- de Jean GODEFROY, souche commune, est sortie Valentine GODEFROY, 1er degré
- de Valentine GODEFROY est sortie Marie FESNIEN, second degré
- de Marie FESNIEN est sortie Nicolas TERRY, troisième degré
- de Nicolas TERRY est sorti Nicolas TERRY, suppliant, 25 à 26 ans, 
journalier, 4ème degré

Branche de la suppliante : 
- de Jean GODEFROY, souche commune, est sortie Jeanne GODEFROY, 1er degré
- de Jeanne GODEFROY est sortie Valentine CAPPÉ, second degré
- de Valentine CAPPÉ est sortie Françoise MARESCQ
- de Françoise MARESCQ, mariée à François LE COUILLARD, est sortie Denise LE 
COUILLARD, 27 ans, suppliante
Extrait du registre des baptêmes, mariages et sépultures de Geffosse pour 
l'année 1717 : 
"le huit du mois d'octobre audit an mil sept cents dix sept nous curé avons 
baptisé une fille née de ce jour pour François LE COUILLARD et Françoise 
MARESQ son épouse, nommée Denise par Genevieve LE GOUPIL et pour compère 
Robert LE GOUPIL ..."

Le mariage des suppliants a eu lieu à Geffosses le 19/01/1745, vue 31/129 dans 
les actes en ligne. Nicolas TERRY est fils de Nicolas et Françoise GIRARD, 
Denise LE COUILLARD est fille de François et Françoise MARESCQ.

- Gilles TERRY, journalier, de Geffosses, 32 ou 33 ans, cousin germain du 
suppliant
- Louis GODEFROY, journalier, de Geffosses, 38 ans ou environ, frère en loi de 
la suppliante
- Antoine LELIEVRE, laboureur, de Geffosses, 54 ans ou environ, non parent
- Louis GODEFROY, laboureur, de Geffosses, 37 ou 38 ans, non parent, a déclaré 
que : "les habitans de la parroisse de Gefosse sont si portés a la calomnie 
qu'après une frequentation de deux mois qu'ils ont eu ensemble, le contract 
ecrit et deux de leurs bans publiés, ils ne pouroient s'empêcher de tenir des 
discours desavantageux sur le conte de l'un et de l'autre, et surtout sur le 
conte de la suppliante qui etant âgée de 26 a 27 ans pouroit demeurer 
prejudiciée si leur mariage ne s'accomplissoit"