Dispense :
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L’orthographe des patronymes est variable dans la dispense : MAREST et MARAIS,
GODEFROY et GODFROI
Dispense du 4e degré de consanguinité. La souche commune est Jean GODFROI d’où
sont sorties Jeanne et Valentine GODFROI
Branche du suppliant :
- de Jean GODFROI, souche commune, est sortie Jeanne GODFROI
- de Jeanne GODFROI est sortie Valentine CAPPEY
- de Valentine CAPPEY est sorti Gilles MARAIS
- de Gilles MARAIS est sorti Gilles MARAIS, marchand, 33 ans, suppliant (signe
MARAIS)
Branche de la suppliante :
- de Jean GODFROI, souche commune, est sortie Valentine GODFROI
- de Valentine GODFROI est sortie Jacques FESNIEN
- de Jacques FESNIEN est sortie Marie FESNIEN
- de Marie FESNIEN est sortie Jeanne Marie GODFROI, 21 ans, suppliante (signe
GODEFROY)
Extrait de baptème : Le septième jour de décembre mil sept cent trente et un a
esté baptizée par moy, pretre curé de ce lieu une fille pour Me Pierre
GODEFROY et Marie FESNIEN, sa femme, nommée Jeanne Marie par Marie Catherine
SEBERT assistée de Me François GODFROY, sieur des Croutes, parein et mareine.
Compléments :
X à Geffosses le 15/02/1753 : (relevés Louis LEGARDINIER)
Gilles MARESCQ, fils de + Gilles et de Marie LE GOUPY
Jeanne GODEFROY, fille de Pierre et de Marie FESNIEN
X à Geffosses 26/07/1710
Gilles MARESCQ, fils de + François et + Valentine CAPPEY
Marie LE GOUPIL, fille de + Denis et d’Elisabeth LE PREST
X à Geffosses 09/07/1729
Pierre GODEFROY, sieur de la Vallée, fils François et Jeanne LE FEBVRE
Marie FESNIEN, fille de Jacques, sieur des Fossés, et Julienne HELYE
X à Geffosses le 22/05/1698
Jacques FESNIEN, fils de + Jacques, sieur des Fossés, et Valentine GODEFFROY
Julienne HELYE, de Gratot, fille de + Louis et de Jullienne LE HOBEY
Voir également la dispense du 4e degré de consanguinité du 18/11/1757 entre
Siméon CAPPEY et Marie GOSSELIN.
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Temoins : |
1 – François MARAIS, marchand, 39 ans, frère du suppliant (signe)
2 – Pierre GODFROI, laboureur, de Geffosses, 52 ans, père de la suppliante. Il
déclare qu’il a 7 enfants dont 4 filles, ce qui est une grande charge pour
lui, et peu de bien a leur donner, lequel motif l’oblige d’avoir recours à sa
grandeur (l’évêque) pour le supplier d’avoir égard et compassion de sa
situation, et qu’il envisage que l’établissement de sa fille avec le suppliant
est une fortune pour elle, n’aiant que 7 livres 10 sols de rente et ne pouvant
en donner davantage, et le suppliant pour le moins 50 écus de rente foncière
… » (signe GODEFFROY)
3 – Me Raoult POURET, sieur de la Roquerie, laboureur, 34 ans, non parent,
déclare que si la dispense n’était pas accordée ce serait « un préjudice des
plus grands tant pour le suppliant qui, connoissant le caractère, le ménage et
l’arrangement de la suppliante, prévoit qu’il ne pourroit pas trouver une
autre personne qui lui convint comme elle vu la connoissance qu’elle a du bien
qu’il peut avoir et les frais qu’il a fait jusqu’à ce jour … »
4 – Jacques LE DOYEN, laboureur, de Geffosses, non parent
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