Dispense :
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4ème au 4ème degré de consanguinité
Jean COURTOISE, fils de feu Jean, laboureur, 22 ans, de La Meurdraquière.
Marie Jeanne Françoise FEVRIER, fille de feu Jean, 25 ans, de La Meurdraquière.
Jean FEVRIER est souche commune
(1) Jean FEVRIER d’où
Antoine FEVRIER d’où
Pierre FEVRIER [NDR : sieur des Landes, marié à Elisabeth CHATEL] d’où
Jean FEVRIER [NDR : marié à Françoise René COUILLARD] d’où
Marie Jeanne Françoise FEVRIER, la suppliante
(2) Jean FEVRIER d’où
Jean-François FEVRIER d’où
Jean-François FEVRIER [NDR : marié à Jeanne HUBERT] d’où
Olive FEVRIER mariée à Jean COURTOISE d’où
Jean COURTOISE, le suppliant
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Temoins : |
- Jean-François FEVRIER, 35 ans de la paroisse de Saint-Sauveur-la-Pommeraye.
- Jean-François COUILLARD, les Demaines, 57 ans, de la paroisse de Ver, oncle de
la suppliante.
- Pierre MARTIN, 22 ans, de La Meurdraquière, laboureur, domicilié à Cérences,
non parent
- Antoine BOREL, 22 ans, de La Meurdraquière, marchand, non parent.
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Informations : |
JTT 21/8/2013
Cette dispense comporte des erreurs ci après la dispense rectifiée :
Jean FEVRIER est souche commune
(1) Jean FEVRIER d’où
Jean FEVRIER [NDR : sieur du Repas, marié à Gilette GUICHARD] d’où
Pierre FEVRIER [NDR : sieur des Landes, marié à Elisabeth CHATEL] d’où
Jean FEVRIER, [NDR : sieur des Valettes ,marié à Françoise René
COUILLARD] d’où
Marie Jeanne Françoise FEVRIER, la suppliante
(2) Jean FEVRIER d’où
Antoine FEVRIER [NDR : sieur de la Bougonnière, marié à Judith MARION] d’où
Jean-François FEVRIER [NDR : sieur de la Bougonnière, marié à Jeanne
HUBERT] d’où
Olive FEVRIER mariée à Jean COURTOISE d’où
Jean COURTOISE, le suppliant
Compléments :
Première branche :
- Pierre Février, fils de Jean est connu par son mariage avec Elisabeth Chatel Ã
Equilly le 3 juin 1700. Est témoin Antoine Février, son oncle mais son nom de
sieurie ne figure pas dans l'acte.
- Jean Février, fils de Pierre est connu par son mariage avec Françoise Renée
Couillard à Ver le 19 octobre 1752
Seconde branche :
Jean-François Février, fils d'Antoine, sieur de la Bougonnière, est connu par
son mariage en 1718 (absence de registres à Saint-Sauveur-la-Pommeraye) mais par
une dispense en date du 11 février 1718 et par un contrat de mariage à La
Haye-Pesnel en date du 31/12/1717 (5 E 4948).
Olive Février, fille de Jean-François, est connue par son mariage avec Jean
Courtoise à Saint-Sauveur-la-Pommeraye le 24 septembre 1750
Il y avait donc inversion des prénoms des grands parents entre le deux branches.
Cela dit, nous n'avons pas d'éléments directs concernant les deux frères : Jean,
sieur du Repas et Antoine, sieur de la Bougonnière, hormis la présence d'Antoine
lors du mariage de son neveu Pierre en 1700 et sa nièce Jeanne en 1686 toujours
à Equilly. La comparaison de ces signatures avec une du sieur de la Bougonnière
sur les registres de Saint-Sauveur-la-Pommeraye en 1693 montre qu'elles sont
vraisemblablement de la même main avec de grandes similitudes.
Nous avons cependant lors du mariage de Pierre Martin avec Gilette Sanson en
1682 au Loreur la présence de Jean et Antoine Février, frères. La comparaison de
la signature d'Antoine avec les deux précédentes valide l'hypothèse.
Reste le prénom du bisayeul, on peut faire crédit aux déclarants qu'il s'agit de
Jean car nous n'avons aujourd'hui aucun élément qui le valide.
JTT 5/10/2013
Concernant le bisayeul prénommé Jean : la dispense du 30/6/1766 entre Jean
François ROSSELIN et Thérèse PARIS vient contredire ce prénom.
Le mariage de Jeanne Février avec Guillaume Paris le 18 mai 1686 est porté dans
les registres d'Equilly, Antoine, son oncle est témoin.
Outre que la dispense précitée est plus ancienne, elle est surtout plus exacte.
On peut donc prendre l'hypothèse que le prénom du bisayeul est Nicolas et non
pas Jean.
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