Bases généalogiques de la Manche - Dispense de l'Evêché de Coutances du 11/2/1718 entre Jean François FEVRIER et Jeanne HUBERT - St-Sauveur-la-Pommeraye

"Le savoir ne vaut que s'il est partagé."


Dispense du 11/2/1718 entre Jean François FEVRIER et Jeanne HUBERT

(Dernière modification le 18/08/2013)

Référence : 5362
Date : 11/2/1718
Suppliants : Jean François FEVRIER et Jeanne HUBERT
paroisse(s) : St-Sauveur-la-Pommeraye
Dispense :
du 4ème degré au 4 degré de consanguinité

De Guillaume LAIR ( 1)  sont issus Thomas LAIR et Françoise LAIR

De Thomas LAIR est issu Guillaume LAIR ( 2)  
De Guillaume LAIR ( 2)  est issue Olive LAIR
De Olive LAIR épouse de François HUBERT est issue Jeanne HUBERT ( env 22 ans) ( 
suppliante)

De Françoise LAIR épouse de Jean MARION est issu Pierre MARION
De Pierre MARION est issue Judith MARION 
De Judith MARION  épouse de Antoine FEVRIER est issu Jean François FEVRIER ( 
suppliant)


Temoins :
Antoine NIVARD 48 ans laboureur de la paroisse de Folligny beau frère de Jean 
François FEVRIER
Guillaume LAIR et Pierre MARION sont cousins germains
Pierre MARION est le GP de Jean FEVRIER
Jacques DUCHESNE oncle de Jeanne HUBERT 40 ans laboureur de St Sauveur La 
Pommeraye
Déposée par : Claudia Lerenard
Source(s) : Archives diocésaines - familysearch.org -v. 16-19 (1715-1719) - vues 1321 à 1325 sur 2163
Informations :
Notes personnelles : 
Jean François né le 23.01.1696 à SSLPommeraye fils de Antoine FEVRIER sieur de La 
Bougonnière 


Témoins : - Pierre FÉVRIER, huissier, de la paroisse de La Meurdraquière, âgé de
40 ans, cousin germain du suppliant. 
- François HUBERT, âgé de plus de 60 ans, de la paroisse de
Saint-Sauveur-la-Pommeraye, père de la suppliante

Deux autres dispenses concernent cette souche : celle de 1717 entre Nicolas
Martin et Marguerite Herpin  et celle de 1731 entre Jean-François Martin et Anne
Février (sœur de Jean-François)

Contradiction sur la souche, en 1717, il s’agit de Thomas, en 1718 il s’agit de
Guillaume et en 1731, il n’y a pas d’indication.

Pierre Février, précise que la souche est Guillaume Lair tandis que François
Hubert se contente de dire que Thomas et Françoise étaient
frères et sœurs. Ce que confirme Jacques Duchesne qui était, par ailleurs,
témoin dans la dispense de 1717 et rapportait les propos de Guillaume Lair ayeul
de la suppliante

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