Bases généalogiques de la Manche - Dispense de l'Evêché de Coutances du 22/01/1789 entre Georges LEGENDRE et Marie Suzanne MONTREUIL - Tocqueville Vast (Le)

"Le savoir ne vaut que s'il est partagé."


Dispense du 22/01/1789 entre Georges LEGENDRE et Marie Suzanne MONTREUIL

(Dernière modification le 30/01/2012)

Référence : 5681
Date : 22/01/1789
Suppliants : Georges LEGENDRE et Marie Suzanne MONTREUIL
paroisse(s) : Tocqueville Vast (Le)
Dispense :
Dispense de consanguinite du 4e au 4e degre

Suppliant: Georges Louis LEGENDRE, de Tocqueville, laboureur, 30 ans environ

Suppliante: Marie Susanne MONTREUIL, fileuse, de la paroisse du Vast, agee de 21
ans du 9 octobre dernier, demeurant a Tocqueville

Souche commune:  n LEGAGNEUR

1) Andre LEGAGNEUR ............ frere de ..... Nicolas LEGAGNEUR
          |                                            |
2) Timothee LEGAGNEUR                          Jeanne LEGAGNEUR
          |                                     mariee a Jean LEGENDRE
          |                                            |
3) Anne LEGAGNEUR                              Jean LEGENDRE
   mariee a Pierre MONTREUIL                           |
          |                                            |
4) Marie Suzanne MONTREUIL                     Georges Louis LEGENDRE
   suppliante                                  suppliant
Temoins :
Francois LEGENDRE, laboureur, de Tocqueville, frere du suppliant, 40 ans environ

Pierre MONTREUIL, laboureur, de Tocqueville, 62 ans environ, pere de la suppliante

Charles TRUFFER?, laboureur, de St Pierre Eglise, 57 ans environ
declare que les suppliants se parlent et s'aiment beaucoup, que ce sera une
bonne chose de les marier d'autant plus que les peres des supplaints sont
voisins et amis de lontemps...

Jean BOUILLON, marchand de St Pierre Eglise, 40 ans, confirme que la famille est
pauvre et ajoute que le suppliant "n'a rien que sa faisance valloir sur une
ferme avec ses freres.."
Déposée par : Agnes LAM
Source(s) : Copie de la dispense - Archives diocesaines
Informations :

La suppliante declare qu'ils sont pauvres et hors d'etat de recourir a Rome
n'ayant pendant le vivant de ses pere et mere que 10 livres de rente pour dot et
n'esperant que tres peu de choses apres leur deces ...
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